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LE CAPITALISME (SUITE)
v0.8.2

Il est la prédominance de la fortune sur le travail, il est la prédominance de la fortune sur le Droit, il créait une hiérarchie oligarchique contraignant ceux qui n'ont que leur travail ou les aides pour survivre, généralement par un mépris du sort de ceux-ci réduis à l'état de soldats économiques à qui l'on donne des leçons voir des leçons de politique pour expliquer une situation difficile et à qui l'on fait des promesses dans un jeu présidentiel où les personnes des grandes fortunes se placent.

Les citoyens acceptent souvent cette infantilisation vis à vis de ceux qui ont l'habit de la réussite et qu'ils envient. La Capitale est le lieu du pouvoir. Pour se sentir représenté les personnes ordinaires se retrouvent dans les représentations de la société, incarnées par les vedettes du show-business, l'Olympe qui procure des histoires, qui vit des histoires proches des gens et détourne de la réalité des grandes fortunes, avec une gloire montrée par les médias : la richesse, la beauté et les mondanités.

Les pays les plus riches dominent généralement les pays les plus pauvres tout en leur faisant croire qu'ils leurs viennent en secours, créant parfois des dettes difficiles à rembourser, cela aboutit souvent à l'installation de l'armada des entreprises des pays les plus riches et dangereux sur leurs sols.

Ces pays riches contrôlent aussi souvent la culture dans bien des domaines, ce qui fait que les choix y compris professionnels deviennent en leur faveur. Les grandes fortunes arrivent à gérer le pays par la contrainte du Droit et de la pauvreté en finançant une oppression et une répression financée aux frais de ceux qui la subissent.

Patrick Fox
POLITIQUE
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